C'est parti pour la deuxième partie du compte rendu de notre partie sur North Africa 41 de Mark Simonitch et publié par GMT. Si vous avez loupé la première partie, c'est ici !
On reprend donc au tour 11, en plein été, avec Tobrouk à moitié conquise et assiégée et les premières confrontations entre le Commonwealth et les forces de l'Axe au sud de la passe d'Halfaya.
Je ne parviens pas à faire bouger la piste de Malte et reçois en renfort une unité sud africaine qui ira dans la case des renforts. Je peux par contre enfin libérer l'unité polonaise.
Pour la première impulsion, je reçois un point de ressource que je vais utiliser pour relancer la construction de la fortification de Tobrouk qui a été détruite pour la troisième fois. Je prend la décision d'envoyer les polonais à Tobrouk par un convoi naval. La poisse revient puisque le convoi est détecté et que les polonais sont détruits. Heureusement, un point de supply et un pion de remplacement indien parviennent à passer à travers l'attaque. On se réconforte comme on peut.


Pour cause d'été, on passe donc de nouveau directement à la troisième impulsion. Et elle commence bien puisque je parviens à terminer la construction de la fortification de Tobrouk. Ce n'est jamais que la 4ème que je construis là bas ... J'utilise un point de remplacement indien pour redonner un peu de puissance à une unité indienne dans Tobrouk, je reçois un point de ressource, j'en converti donc deux pour ramener Malte d'un cran vers la droite. Je prend ensuite une décision quasi suicidaire, j'utilise mon dernier de point de supply pour lancer des assauts sur les troupes de l'Axe et risquer de me retrouver out of supply le tour suivant. C'est avant tout pour pouvoir libérer mes troupes encerclées près de Bardia.

Vient le moment fatidique de la phase d'attrition, et la chance sourit aux audacieux ! Je fais un 11, je ne perd pas de point d'attrition. Ouf ! Les dès ont été foireux, mais au moins, je ne fini pas avec toutes mes troupes non ravitaillée. La situation sur le front reste tout de même bien compliquée, et ayant perdu 3 pas de tanks ce tour-ci, je vais devoir me calmer.

La second impulsion n'a toujours pas lieu, il fait trop chaud, on préfère faire la sieste.
Pour la troisième impulsion, je reçois un bombardement, je vise Bardia mais échoue de nouveau lamentablement avec un 1. J'envoie par la mer une unité néo-zélandaise et un supply, et cela fonctionne cette fois. Ouf ! Le reste de mes mouvements ne sont que réorganisation et préparation pour la suite. Je n'ai pas assez de troupe pour tenter des choses trop souvent. Je vois par ailleurs mon unité sud africaine devenir non ravitaillée. Sa fin est proche. Le joueur de l'axe reçoit un point de ressource. Il utilise des points de remplacement pour faire revenir une unité de 88, réparer un pion de tank italien et un de panzer. A quoi ça sert que je me décarcasse hein ? Puis après quelques déplacement, il claque un pion de supply et remet le couvert. On est reparti pour des attaques de partout.

Il utilise le pion Comando Supremo pour mettre le paquet sur Tobrouk, il obtient d'abord un 1 mais utilise Rommel dont la relance lui offre un 5, me forçant à tenter une défense désespérée. Comme c'est un DRX, on choisit chacun une perte dans le camp adverse. Je fais sauter une unité de reco allemande et il me diminue mes kiwis qui viennent de débarquer. J'utilise mon QG pour me donner du bonus sur mes jets de défense désespérée. J'ai deux chances sur trois de réussir, mais je fais deux 2, perdant mes kiwis. Mon troisième jet est un 5, réussissant la défense déterminée avec mon QG ... qui meurt au passage, annonçant donc la chute de Tobrouk. Bouhouhou... mais pourquoi ces jets ! Il poursuit par l'assaut final sur l'unité sud africaine isolée à 4:1. Il obtient un 4, nous faisant perdre une troupe chacun et me forçant à une défense désespérée en terrain découvert. J'enchaîne de nouveaux deux 2, la troupe est détruite. Décidément, ma petite percée inutile au tour 11 aura coûté cher. La moindre erreur se paye cash dans ce jeux !
Le tour se termine avec une phase d'attrition où l'on perd tous les deux un points de supply. Tobrouk, après une vaillante et très coûteuse défense, a fini par tomber. Il va pouvoir ramener tout ce petit monde rapidement pour m'empêcher de contre attaquer. La partie est sans doute perdue, mais on poursuit jusqu'au bout !
Bon... Tobrouk va finir rapidement de tomber et Malte ne bouge pas ce tour-ci. Voyons voir comment réagir à cette situation sur le front. Je reçois pas mal de tank, et des remplacements, on va tacher d'utiliser tout cela de la bonne manière. L'évènement de ma première impulsion me donne une attaque de port, que je fais sur Tobrouk avec succès. Je réorganise mes troupes au front mon solidifier la ligne de contact, mes renforts se se déplacent le long de la route côtière. Et c'est tout. Ma troupe dans le périmètre de Tobrouk ne peut rien faire. Elle passe d'ailleurs en non ravitaillée. Mon adversaire doit faire des remplacements de Panzer qu'il opère selon les règles. Son ravitaillement et ses remplacements d'infanterie du tour traverses la mer sans problème. Il réorganise ses troupes et c'est tout. Une première impulsion plutôt calme donc. Il faut dire qu'il a réussi à faire sauter Tobrouk, il peut donc temporiser désormais et se préparer à une contre attaque alliée.

La deuxième impulsion n'a toujours pas lieu, mais c'est la dernière fois.

Pour la troisième impulsion, je gagne un point de ressource que je stocke. Je continue de ramener mes renforts pour les positionner au sud de mon dispositif. Mes troupes survivantes dans Tobrouk passent au niveau suivant du non ravitaillement et doivent jeter un dès. Je foire mes deux jets, perdant mon rémanent indien et un pas d'australiens. Cela sent la fin... Le joueur de l'Axe reçoit lui aussi un point de ressource puis continue à faire remonter la route côtière pour ses remplacements et son supply. Il réorganise ensuite ses troupes dans Tobrouk pour préparer l'assaut final sur Tobrouk et en finir avec mes unités qui se décomposent. L'attaque est plutôt facile et les derniers australiens sont détruits. La seule bonne nouvelle c'est que durant la phase d'attrition, je ne perd pas de point de supply, contrairement à mon adversaire.


Il commence par une attaque au sud de ma ligne, obtient un beau score (6) à 4:1, me cause des pertes et me force à reculer. Il en profite et conduit un combat de percée avec sa division panzer, mais un jet moins bon (4 à 4:1) nous cause tous les deux des pertes et me force à reculer encore. Puis il attaque au centre de ma ligne. Cette fois c'est un 2 à 2:1, qu'il relance avec Rommel mais obtient un 1. Il prend donc une perte et on en reste là. Mais mine de rien, à peine je commence à attaquer que ses panzers contre attaquent en force. Cela ne va pas être simple.

La troisième impulsion commence avec un deuxième point de ressource. Je les utilise pour ramener Malte d'un cran vers la droite. J'utilise un remplacement de tank lourd pour faire revenir une perte, puis je réorganise le front, mais sans tenter d'assaut cette fois. Une impulsion rapide pour préparer la suite et tenter de faire mal pour de vrai. Et le tour se fini pour mon adversaire avec un 12 sur évènement, qui lui permet de remonter Malte de deux niveau. La chance une nouvelle fois pour lui. Grmbl ! Ensuite, il fait comme à son habitude : les renforts remontent la côte et il réorganise son front. Comme moi, il temporise pour voir la suite.
Lors de la phase d'attrition, on perd tous les deux un point de supply.
Je reçois pas mal de renfort, et notamment de l'infanterie, une bonne chose car cela me fait défaut actuellement. Je lance un 4 sur la piste de Malte, qui me permet de la décaler d'un cran vers la droite. Parfait ! Je reçois par évènement un point de ressource. Mon impulse va être assez rapide. Je prépare les renforts et je les fait remonter en camion le long de la côte. Un camion vient lui se positionner à Mersa Matruh pour récupérer au prochain impulse le supply qui a fait un trajet en train Sur le front, quasiment aucun déplacement. Et c'est déjà à mon adversaire de jouer.
Il commence par recevoir le Commando Supremo par évènement. Il lance ensuite pour traverser la mer et sort un 9. Il lance 4 dès et ne dois pas faire 1 ou 2. Il s'en sort bien, il ne perd qu'un point de supply sur les 4 jets (2 supply et 2 remplacements). Niveau mouvement, c'est light, il ne fait que du tactique afin d'avoir un point de supply gratuit. Il place son marqueur de delay 2 au sud de son dispositif pour éviter un débordement, mais il ne veut toujours pas rester en place.


Mon adversaire reçoit un point de ressource qu'il utilise pour lancer une fortification dans Bardia. Il réorganise tout son front et prépare une attaque au sud (1) ayant remarqué que ma pointe sud n'est pas protégée par des blindés. Il utilise le commando supremo et attaque en force, à 4:1. J'utilise mon second QG pour le ramener à 3:1. Il lance et fait un 4 : DRX. Ne voulant pas perdre son panzer, il utilise Rommel et fait un 1. Échange. Donc je n'ai même pas besoin de fuir. Parfait ! Rommel n'est plus en forme et mon adversaire a été un poil gourmand. Je lui enlève évidemment son panzer qui était bien entamé et il me fait une perte sur mes troupes anglaises. il s'arrête là pour ses attaques, place un marqueur de delay et c'est l'autre qui saute dans la foulée.
Pour mon dernier impulse, je commence par appliquer 1 remplacement sur mes troupes indiennes au front. Quelques mouvements, notamment pour aller chercher du supply. je remet mon marqueur 1 de delay, et les 2 restent en place. Voilà pour moi. On ne va pas lancer de grosse attaque en fin de tour.
Le joueur de l'Axe lance son évènement : 5. Il reçoit un point de ressource. Sa fortification a Bardia est terminée (sans jet puisqu'il y avait déjà des travaux préliminaires sur la case). Il utilise un point de remplacement de tank allemand pour faire revenir le panzer que je viens de lui détruire. Il réorganise ensuite son front puis fait avancer ses renforts (remplacements et supply) le long de la côte. Pas d'attaque cet impulse, il place son second marqueur de delay mais c'est l'autre qui saute.
On termine le tour avec l'attrition du ravitaillement, mais on fait tous les deux un gros jets, nous évitant de perdre du ravito.
Ce sont trois pions de tanks que je reçois ce tour-ci. Cela me va bien et va alourdir un peu mes offensives. Je jette pour Malte et obtient un beau 6. C'est trop tard, mais cela fait plaisir de voir la piste bouger naturellement pour une fois. J'obtiens un point de ressource, j'en utilise donc 2 pour encore faire monter Malte d'un cran. Mes renforts arrivant sur le front, je me prépare une attaque au sud du dispositif ennemie. Le premier combat me permet de faire une perte italienne (et d'en prendre une), je poursuis sur un combat de percée mais un lamentable 1 donne un échange. Je perd un tank, j'entame une grosse troupe d'élite allemande et on s'arrête là. Mon adversaire reçoit le Commando Supremo. Vu que Malte est à fond, il décide de ne pas faire venir les renforts ce tour-ci. Puis il repositionne ses troupes au front, notamment pour protéger le sud où je commence à pousser.

Pour la deuxième impulsion, je reçois un soutien aérien. Bonne nouvelle pour une futur attaque. Je continue à faire venir mes renforts, réorganise mes troupes et je m'arrête là. Il faut dire que je n'ai pas beaucoup de supply, je ne peux pas me permettre d'attaque de manière répétée. Mon adversaire reçoit un point de ressource, utilise deux points de remplacement, pour faire revenir une petite unité de reconnaissance allemande et retaper la grosse unité que j'ai entamé au début du tour. Lui aussi se contente ensuite de repositionner ses troupes.
Dernière impulsion du tour, je reçois un point de ressource. Je recharge une unité anglaise mal en point grâce à un remplacement. Je fais quelques mouvements pour placer mes nouveaux tanks sur le front, et c'est déjà fini. Là encore, je n'ai pas les supply nécessaire pour pousser de manière continue. C'est frustrant. Mon adversaire reçoit un point de ressource mais il ne descend pas Malte de deux crans tout de suite. Il attend le prochain tour, m'empêchant de jeter sur la piste. Pour ses mouvements, il en fait encore moins que moi. Il se prépare à recevoir le choc.
On perd tous les deux un points de supply à la phase d'attrition. Un tour très rapide, qui nous voit nous regarder en coin, savoir quand je lancerai les offensives. Indice : quand j'aurais des putains de points de supply !


Seulement un tank de renfort pour moi ce tour-ci. Pas de jet de Malte, la piste est déjà à fond. Bonne nouvelle pour moi, le chemin de fer est prolongé ce tour-ci, il s'approche donc du front, me facilitant la vie. Je repositionne mes troupes et lance une nouvelle attaque au sud et au centre du dispositif. Mon attaque au sud se solde par un 2 à 3:1, ne provoquant qu'un recul de l'adversaire que je ne peux pas vraiment exploiter. La seconde attaque est encore pire (1). C'est un échange, donc je dégage un canon de 88, mais j'y perd une unité de Maltida au grand complet. Comment voulez-vous qu'on y arrive quand on fait des jets pareils ?
Mon adversaire utilise trois de ses 4 points de ressource pour faire revenir Malte de deux crans vers la gauche. Et évidemment son convoi passe la mer tranquillement sans être inquiété. Ensuite, il renvoie ses camions à Tripoli pour charger du supply et réorganise son front. Il est sur la défensive maintenant, à moi de faire le boulot. Si les dès me le permettent un jour ...

Pour ma deuxième impulsion, je reçois de nouveau une attaque de port. Mais bordel donnez moi des trucs utiles ! J'attaque sur Tobrouk et une nouvelle fois je loupe l'attaque ... J'utilise ensuite un pion de remplacement lourd pour faire revenir un Matilda. Mon adversaire reçoit un point de ressource qu'il utilise pour acheter le pion Comando Supremo. Cela sent la contre attaque ! Et je ne m'y trompe pas. Il attaque en force au centre de ma ligne. Sa première attaque est un 5 à 5:1, me forçant à retraiter après une perte. Je dois faire une défense déterminée pour sauver mon infanterie qui serait sinon obligée de se rendre et la chance revient. Je fais un 6 qui me permet de tenir (au prix d'une nouvelle perte). Sa deuxième attaque foire, il sort un 1, qu'il relance avec Rommel pour avoir un 2, un échange. Parfait ! Son attaque aura fait long feu.

Dernière impulsion, j'utilise deux points de ressource pour faire remonter Malte, qui continue donc ses allez et retours. Je déplace mes renforts sur la route côtière et je lance une nouvelle attaque au sud. Je vise notamment la pile où se situe une unité panzer en fin de vie. Il faut que j'arrive à m'en débarrasser. J'obtiens un beau 5 à 2:1. C'est donc un DRX. Je lui détruit l'unité panzer, prend une perte et le force à retraiter. J'enchaîne sur une pile italienne avec un combat de percée mais n'obtient qu'un 2, cela ne le fera que retraiter. Ma troisième attaque est une cata (1). Mais vu que c'est un DRX, j'entame une grosse troupe allemande et lui me diminue un tank. 1 seul bon jet sur 3... mes ptits gars du commonwealth manquent clairement d'entrain !

Pour cet avant dernier tour, je reçois des unités reconnaissances anglaises et une unité indienne, de quoi absorber des pertes donc. Le joueur de l'axe reçoit lui beaucoup de remplacements. Malte ne bouge pas sur sa piste. Je reçois par évènement un point de ressource et utilise un remplacement de tank pour recharger une grosse unité de tanks qui était endommagée. Comme d'habitude, mouvement des renforts le long de la mer, arrivée d'un point de supply par le train, et je prépare de nouveau des attaques au sud du dispositif. Ma première attaque est mauvaise, un 1 à 3:1 me cause un échange, pire résultat possible car je ne fais pas bouger mon adversaire. Je fais un bien meilleur combat sur le second (5 à 2:1), me donnant un DRX qui me permet de détruire l'unité panzer sur place et le force à reculer. J'en profite alors pour faire un combat de percée et insister sur l'unité qui avait résisté durant le premier combat. Avec un nouveau 5 à 3:1, on prend tous les deux une perte et cela le force à reculer. Pas si mal du coup, le sud commence à craquer.
Le joueur de l'axe reçoit un troisième point de ressource et les utilise évidemment pour faire reculer Malte de deux crans avant que son convoi ne quitte l'Italie sans encombre. Vers Bardia il utilise un remplacement de tank italien puis c'est la valse habituelle des petits déplacements pour repositionner son front.

Ma deuxième impulsion me voit recevoir un point de ressource. Mes renforts arrivant sur le front, je repositionne tout ce que je peux pour lance une nouvelle salve d'attaque au sud. J'utilise un soutien aérien pour renforcer mon attaque tout au sud et lance un 3 à 4:1. Ce DRX me permet d'entamer une grosse unité allemande, mon adversaire éliminant un de mes tanks et devant ensuite retraiter. Pas de percée, on se positionne pour la suite. Le second combat nous voit chacun prendre une perte et ses troupes reculer. Le troisième combat avec un 5 à 3:1 nous voit chacun prendre une perte de nouveau (choisie par l'adversaire) et il recule. On prend donc tous les deux des pertes, mais j'ai désormais de quoi absorber un peu, et je le pousse au fur et à mesure. Mon adversaire reçoit comme à son habitude un point de ressource, fait avancer ses renforts le long de la route côtière et se repositionne. Il attend la suite et tente de boucher les trous.
Ma troisième impulsion ne sera faite que de mouvements tactiques. J'ai une forte envie de continuer mon travail de sape au sud, mais je résiste à la tentation et préfère gagner un point de supply qui me permettra d'insister ensuite. Mon adversaire ne fait pas beaucoup plus, il continue à faire venir ses renforts, se repositionne et le tour est terminé. En recevant 2 points de supply par tour, difficile de faire 3 impulsions d'attaque, sauf à avoir fait des stocks en amont.
Si la partie est déjà perdue, tachons de la terminer avec panache ! Dans ce dernier tour, l'allemand récupère la supériorité aérienne. Mes renforts sont plutôt intéressants, je reçois 3 tanks et deux unités motorisées anglaises. Evidémment, Malte ne bouge pas pour le dernier tour. Mon dernier évènement est inutile au possible : je reçois un raid de port. Je l'utilise sur Tobrouk et je réussi à achever le boulot, il n'est plus utilisable pour le moment. Mes renforts remontent la route côtière, mes troupes au front se réorganisent et je lance une grosse vague d'assaut.

Le premier combat s'achève sur un misérable 1 à 4:1. Je le rais reculer sans autre résultat intéressant. Bon.. le panache.. ce n'est pas trop cela pour le moment. Vu qu'il retraite, je profite pour lancer un combat de percée à 2:1 et là c'est un magnifique 6 qui me permet de lui faire une perte une retraite à 3. Vu qu'il n'y a là que des troupes à pied, elles devraient se rendre automatiquement. Il joue donc une défense désespérée. Le premier jet à 1 échoue, le second à 6 réussi. Dans le lot il prend 3 pertes là où je n'en prend qu'une. Rentable. Le retour du panache ! Au centre de la ligne, j'attaque de nouveau à 4:1 et j'obtiens de nouveau un 1 le faisant reculer. Je lance un combat de percée, de nouveau à 2:1 et je refais un 6. Les choses s'équilibrent ! Je réussie enfin une belle phase de combat où il prend beaucoup plus de pertes que moi et j'arrive à exploser son front. Ok, c'est trop tard, mais on dit du panache non ?

Mon adversaire reçoit un point de ressource, et en ayant cumulé 3 il agit sur la piste de Malte avant de faire traverser ses remplacements et de déclencher une attaque de convoi. Dans le lot il ne perd qu'un point de supply. Il tente ensuite de réorganiser son front.
Pour ma deuxième impulsion, je reçois de nouveau une attaque de port... toujours aussi inutile. Les avions s'en prennent donc à Benghazi avec succès. J'utilise un remplacement de tank lourd pour protéger Sidi Barrani, mes renforts continuent d'arriver et je lance de nouveaux assauts.

Mon adversaire reçoit un point de ressource, fait remonter ses renforts et vide Tobrouk pour tenter de contenir la percée à l'ouest où mes troupes poussent fortement.

Au décompte final, il gagne donc la partie avec 4 points de victoire. Pas si violent que cela avec ce que j'ai subit en début de partie. Et quelle partie !